En participation avec son principal responsable, Mustafa Bouriche, la présentation de la « Maison des Services Au Public », depuis cette année labellisée « France Service », une petite équipe de services au public très efficace dans l’accueil, l’information, l’orientation, l’accompagnement aux démarches administratives de toutes sortes concernant la famille, la santé, les retraites, l’emploi, logement/énergie, l’accès au Droit, les cartes Zou, impôts, amendes, État civil…
Ils et elles peuvent aussi proposer une aide à l’utilisation des services et des outils numériques. Une belle boite à outils de mise en relation entre les administrés et les administrations pas toujours facile.
Financée par le Comcom, le Conseil Départemental, et peut-être la Région, une participation financière de la Comcom voisine de Mane-Banon ne serait pas déplacée puisque pas mal de leurs administrés profitent de ses services.
À signaler une association le Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles (CIDFF), membre et partenaire de nombreuses institutions qui tient une permanence tous les deuxièmes jeudi du mois à Forcalquier, avec un très bon service juridique, qui a élargi ses missions avec une branche pour la protection de l’enfance et l’accompagnement des migrants.
Plus d’informations sur le site FNCIDFF.
Puis il nous a été présenté la proposition de Convention « Villes de demain » pour les villes de moins de 20 000 habitants pour favoriser une transition écologique surtout dans l’accompagnement financier, technique de l’État sur l’habitat, la revitalisation (rénovation?) des centres urbains. A priori tout le monde est d’accord, sauf que des esprits chagrins se demandent si cette convention qui va sûrement profiter à Forcalquier, profiterait aussi aux autres cités-villages de la Comcom. La discussion est ouverte, on en reparlera.
Enfin un sujet qui fâche en fin de commission avec le « non-renouvellement de contrat », à ne pas confondre avec un licenciement, d’une responsable administrative de la Comcom, Salomé Delille, qui était appréciée par les maires pour son aide, son implication dans les dossiers dont elle avait la charge.
Son éviction rapide, brutale, n’a pas été du goût de beaucoup d’entre nous les maires de petites communes qui avons appris la nouvelle de Salomé nous annonçant par mail son départ. Une mesure et une manière de s’y prendre qui suscitent aussi des grincements de dents du côté de l’équipe dirigeante…
Une mesure et une manière de s’y prendre qui peut être analysée comme un signal fort de menace aux éventuels récalcitrants employés de notre si belle communauté de communes.